Un peu perdue[Cécile]

Bien que c'était le plein après-midi, les rues étaient assez vides. On pouvait entendre des bruits de pas s'éloigné de plus en plus, mais qui est-ce que c'était? Oui. C'était bien la petite Amara. Mais que faisait-elle au beau milieu de la rue et toute seule? Personnes pouvait le savoir, ni même le deviner.
...

Amara ne savait même pas elle-même ou elle était. Elle marchait. Elle regardait et observait les plusieurs rues qu'elle passait. Elle ne conaissait rien ici. Elle ne s'en rappelait pas non plus.
Mais au plus qu'Amara marchait au plus qu'elle s'enfonçait vers ses rues qui ne rassure pas. Mais Amara était encore bien trop petite pour s’en rendrent compte. Certes elle n’était plus un bébé, mais elle était encore petit enfant qui ne pouvait pas encore se débrouiller tout seul. Pourtant Amara voulait montrer qu’elle était courageuse et qu’elle savait se débrouiller. Mais au plus qu’elle s’enfonçait dans les rues, au plus qu’elle commençait à changer d’avis.

Quelques heures étaient passées, et le soir tombait peu à peu. La petite fille était encore toujours dehors. A aller de rues en rues, parfois en s’arrêtant aussi. Biensûr, le soir tombait et donc il n’y avait plus grand monde sur les rues. Voir mêmes personnes. Sa peur devenait de plus en plus grande. Elle ne savait pas quoi faire. Appart marcher et marcher. Mais quelques mètres plus loin, la fatigue s’installait. Amara trouvait donc une petite ruelle et allait s’y planquer. Elle pris ses genoux avec ses bras, et mit sa tête sur ceux-ci. Mais peu après, elle sortit quelque chose de sa poche. De loin, cet chose, avait un drôle de forme. C’était même bizarre. Mais en regardant de plus près, on pouvait reconnaître une tête de lapin, avec un drap suspendu dessus. C’était son doudou. Et elle n’en avait pas honte ! Le doudou était assez sale et un peu bousillé. Mais elle l’avait depuis qu’elle était petite, et ne le quittait plus depuis.

Elle pris son doudou près d’elle. Elle se disait que le doudou l’aurait protégé. Bien qu’en réalité se doudou n’aurait servit à rien. Mais sa, Amara ne savait pas.
Peu après elle entendit du bruit. Son cœur battait très très fort maintenant. Elle avait peur et ne bougeait plus. Au bruit on pouvait reconnaître des hommes, mais aussi des femmes. Ils étaient fâcher et voulait se venger. Amara se demandait bien pourquoi. Le bruit s’approchait de plus en plus. Et le cœur d’Amara n’en battait que plus fort ! Des larmes commençaient à couler. Un des hommes avait cru l’entendre et demandait aux autres de se taire :

"Taisez-vous !! Il y à quelqu’un !!"

Les autres fessaient encore un peu de bruit, mais finalement, ils se taisaient quand-même. Amara comprit à cet instant que le ‘quelqu’un’, c’était elle. Car il n’y avait personne d’autres dan la ruelle appart elle. Amara essayait de faire le moins de bruit que possible. Mais les larmes coulait et elle ne su empêcher un sanglot.
L’homme avait reconnu le bruit et venait de plus en plus près d’Amara. Elle avait très peur. Elle ne savait pas comment elle se serait sortit de la. Puis peu après l’homme la trouvait. Il avait un regard de haine et méchanceté. Puis quand il vit que ce n’était qu’une petite fille. Il fit un sourire sadique presque. Amara se poussa un peu plus contre le mur. Elle devait partir loin de cet homme, mais comment ? Elle ne le savait pas. L’homme s’approchait maintenant de plus en plus vers Amara. Amara voulait crier, mais l’homme mit un doigt sur sa bouche et lui disait « chuuut ! » Amara n’osait même plus crier, ni bouger.

L’homme la prit par son col et fit avancé Amara devant lui. Il criait aux autres

"Regarder ce que j’ai trouver !"

Les autres commençait à rire. Amara devait avouer qu’elle avait du mal à suivre. Elle ne comprit pas ce qu’il ce passait. Elle se disait qu’elle avait bien fait de mettre son doudou denouveau dans sa poche pour pas que l’homme ou quelqu’un du groupe ne lui prenne. Son cœur battait maintenant de plus en plus fort. L’homme serra un peu plus sa main pour avoir Amara encore mieux en mains. Des larmes commençait à couler, et le groupe à l’ennuie. Pour eux c’était marrant mais pas pour Amara. Elle avait de plus en plus peur. Et elle ne savait pas crier à l’aide, on lui empêchait cela. Des larmes coulaient.

Se jeux continuait pendant pas mal de temps jusqu’à ce qu’ils entendent des personnes arriver. Ils lâchaient Amara. Ou plutôt la laissait tomber et partirent en courant.

Ils l’avaient lancé assez fortement parterre, mais elle tombait sur des bouts de cartons. La, ou la tantôt elle c’était cacher.Elle était en pleure. Elle sortit encore une dernière fois son doudou et le regardait. Elle aussi maintenant entendit les bruits de pas. Mais qui est-ce que c’était ? Etes une personne ou plusieurs ? Elle ne le savait pas. Et ne pouvait non plus pas l’entendre grâce au pas. Elle se disait de peut-être crier à l’aide. Mais elle ne savait pas.

Amara tombait au beau milieu de la rue, épuisé. Ses yeux se fermaient peu à peu. Mais elle se força de les laisser ouvert. Elle était ventre plat contre le sol. Elle regardait du côté ou le bruit venait. Elle pris son doudou, et le regardait. Elle lâchait encore une dernière fois une larme. Ses yeux se fermaient complètement maintenant…

Hj : Enfin j’arrive désoler pour le retard soeurette. N’utilise pas tes dons encore, je te dirais quand mais pas maintenant c’est trop tôt.

En après-midi, Cécile se promenait dans les rues. Elles avaient l’air complètement déserte, pas un chat dehors. Pourtant le soleil était bien présent lui, au beau fixe, rayonnant pour ce jour de janvier. Le printemps n’était pas encore là et pourtant il faisait bon vivre, on est le 9 janvier donc le mardi. Cécile venait de quitter le café, elle n’était que du matin car même si le lycée avait brûlé, elle devait quand même faire des cours par correspondance pour ne pas être SDF après, bien qu’à 15 ans, elle ne savait pas encore très bien ce qu’elle voulait faire plus tard.

Son esprit se hasarda à certaine pensée, depuis sa sortie de l’hôpital, le samedi dernier, elle n’avait plus revue Amara dont elle ne connaît pas encore ce nom d’emprunt. Elle c’était lier d’amitié avec Rubis depuis quelques jours et cela l’avait littéralement changée, elle n’était plus aussi froide avec les gens vu qu’elle c’est bien rapprochée de ce Tom Lee.

Céli-Célo ne vit donc pas arriver le soir et sortie vite son nouveau portable car depuis sa chute de vélo ces parents se sont inquiétés et lui ont offert un pour si jamais il lui arrivait une boulette encore une fois et qu’elle puisse prévenir. C’était vraiment intelligent de leur part mais aussi très gentil car elle n’était pas leur fille et pourtant ils se comportent comme tel avec elle.

Pour rentré plus vite, Cécile passa dans les ruelles, c’est peut-être pas très rassurant d’y passer mais cela avait le potentiel d’être d’efficace raccourcit quand on est pressé. Elle devenait de finir de parler à sa mère d’adoption quand elle entendit des rires. Au début elle croyait encore à des rêves stupides, des brides de ce cauchemar mais machinalement, elle essaya quand même de localiser ces éclats de voix. Comme guidé par son instinct, elle s’avança plus profondément dans une des ruelles.

« Il y a quelqu’un ? »

Lança-t-elle mal assurée.

HJ : Désolée de mon abscence Embarassed

Et désolée, je savais pas que je pouvais pas encore employer mon pouvoir, mais j'ai éditer maintenant^^

Etre seule dans des petites ruelles abandonner et en plus la nuit, ce n’est pas vraiment une chose à faire. Mais qu’en savait la petite Amara ? Elle avait perdu sa mémoire et donc aussi oublier qu’elle ne pouvait pas sortir seule. Tanya, qui est sa nouvelle maman, était très gentille, mais ne lui avait encore rien dit des permissions. Et donc biensur, la petite se trouvait maintenant dans une petite ruelle sombre. Amara était encore toujours couché sur le sol. Elle ne pu se levé acause de la fatigue. Elle était épuisée. Bien qu’elle essayait de garder ses yeux ouvert du mieux qu’elle pu. Elle espérait vraiment que quelqu’un serait venu. Mais encore toujours personne. L’espoir de Amara commençait maintenant à diminuer. Elle avait envie de pleurer car son bras lui fessait très mal. Et être couché sur son ventre coupait un peu sa respiration. Elle devait donc se concentrer doublement sur sa respiration. Dans sa main elle tenait maintenant son doudou. Quelques larmes coulaient et elle essuyait ses larmes avec son doudou. Elle le tenait maintenant près de son visage.

Pas très loin d’elle, elle pouvait entendre quelqu’un crier. Elle se saisissait, puis regardait d’où venait le bruit. Elle voulait dire quelque chose, mais elle ne pouvait pas. Elle en était incapable. Elle devait trop se concentrer sur sa respiration. Mais pas loin de son pied, elle vit une poubelle en fer. C’était son unique chance de se faire repérer. Elle frappait donc la poubelle avec son pied du plus fort qu’elle su. Mais la fatigue la prenait de plus en plus.

Elle avait un peu levé la tête, mais elle laissait à nouveau tomber sa tête. Elle eu des sanglots. Elle eu aussi pas mal de difficulté à garder ses yeux ouvert. La fatigue devenait de plus en plus forte, et ces yeux se fermaient doucement. Sa tête était encore toujours tournée vers la ruelle d’où le bruit venait.

On aurait pu croire que Amara était morte. Mais ce n’était pas vrai, elle vivait encore. Bien que c’était difficile à voir. Mais elle vivait encore vraiment. Appart que sa tension et sa respiration n’était plus à la normal. Comparé à une personne en bonne santé, sa tension était beaucoup plus basse et sa respiration de même. Son cœur battait aussi moins vite que normalement. Mais cette petite est forte et elle s’en sortirait. Enfin c’est ce qu’il restait à espérer...

HJ: Aussi évite de changer les couleurs des actions, sinon ça ne fais rien pour ton absence, t'as le droit d'être pas là de temps à autre ^^.

Cécile s'enfonça donc dans la ruelle. Elle tremblais un peu non parce qu'elle avait froid mais plutôt à cause de la peur. Ce n'était pas vraiment rassurant de se promener dans un endroit pareil.

*Je n'ai pas rêvée, j'ai bien entendue des voies.*

Se dit-elle toujours aussi curieuse. Heureusement qu’elle venait de téléphoner à la famille Summers pour les prévenir de son retard sinon on risquerait de voir des policiers partout dans la ville car même si maintenant on leur dit que leurs filles d’adoptions étaient en sécurité, les parents eux s’inquiètent toujours autant. A ces pensées, Cécile se rassura et soupira en rigolant un peu.

BAMMMM ! Cécile sursauta, le cœur battant, ce bruit là lui avait vraiment fait peur, quelqu’un venait de frapper dans une poubelle, assez fort pour causer un bruit violant qui fit peur également à certains êtres de la rue comme les rats et les chats errants.

Encore un autre bruit parvient aux oreilles de Maya, c’était des sanglots et une respiration pareil à un raclement. Elle s’y précipita et découvrit le corps frêle et étendu sur le sol d’Amara, cette petite qui était dans la même chambre d’hôpital qu’elle. Miss Summers l’a prend dans ces bras et la cajola doucement.

« T’en fais pas petite, je suis là à présent. »

Voir l’enfant ici dans un tel état lui fendit le cœur, elle ne savait pas pourquoi mais ça la révolter de voir cela.

Cécile c’était précipité peu après que Amara avait tapé dans la poubelle en fer, qui avait même un peu bouché quand Amara y mit un coup de pied.
Le temps que Cécile arrivait était peut-être que de 1 à 2 minutes, mais pour Amara ses minutes étaient des heures, des éternités. Des siècles. Et sa respiration ne fessait que aggrava chaque minute, voir chaque seconde. Respiré lui fit vraiment mal. C’était comme si à chaque respiration quelqu’un lui coupait la peau avec un couteau. Respirer devenait très vite une souffrance insoutenable. Cette petite était encore si jeune, la souffrance, elle ne pu le supporter. Et biensûr, elle commençait à pleurer. Pas étonnant avec une telle souffrance a supporté. Mais même pleurer fit mal. Toute cette douleur pour un gosse de 6 ans, c’était beaucoup trop.

Bien qu’Amara était entrain de tomber dans un sorte de coma, elle pu sentir que quelqu’un la prit. Que quelqu’un la serra. Que quelqu’un la consolait. Mais qui est-ce que c’était ? Connaissait-elle cette personne ? Mais quand cette personne parlait, elle la reconnu immédiatement. Oui, elle avait reconnu cette voix et cette odeur. C’était Cécile. Elle fit soulagé de la voir, bien que sa souffrance devenait de plus en plus pire. Et elle ne savait presque pas le dire. Sa voix était comme coupé. Elle devait trop se concentrer sur sa respiration. Mais elle essayait de se serer du plus qu’elle pu contre Cécile. Elle n’avait encore jamais eu aussi peur que cette nuit. Mais qu’avait-il prit à Amara pour se promène le soir dans des rues qui ne rassure pas du tout.

Amara avait encore toujours son doudou dans sa main. Elle était contre Cécile et essayait de passé un bras sur l’épaule de celle-ci. Mais la souffrance l’avait trop prit. Elle ne su presque plus bouger. Car chaque mouvement était une souffrance de plus. Elle aurait voulu le faire comprendre à Cécile, mais comment ? Sa respiration coupait tout droits de faire autre chose. Amara ne savait que montrer sa souffrance en pleure. Et c’est ce qu’elle fessait. Mais elle ne savait pas si Cécile l’aurait comprit. Elle regardait Cécile. Elle avait juste soulevé la tête. Son visage exprimait une petite fille pleine de désespoir et de tristesse. Les larmes coulaient encore. Elle rabaissait peu après la tête. Toujours en pleurant. Elle tenait son doudou près d’elle maintenant. Elle essayait désespéramment de trouver un moyen pour expliquer à Cécile qu’elle souffrait de plus en plus maintenant. La souffrance était devenait pire chaque minute.

Quand Amara toussait, elle toussait presque du sang avec. Ce n’était pas joli à voir. Et comment des personnes pourrait rester insensible à la souffrance d’un petit enfant avec comme ça ?

Amara souffrait donc aussi beaucoup plus. Elle cherchait donc toute la force qu’elle avait encore et essayait de dire quelque chose à Cécile. Quelque chose de claire, mais elle ne su que dire sa :

"Cécile…j’..ai…mal…peu…pas…respir…"

Amara ne su finir sa phrase. La douleur était trop forte. Elle avait regardé Cécile quand elle avait parlé. Mais elle eu finit avant et tombait avec sa tête en arrière. Ses yeux étaient fermés. Qu’arrivait-il à Amara ? Etait-elle morte ? Où était-elle dans le coma ? Ou était-elle juste tomber de la fatigue ? Dieu sait… Mais Amara n’était pas morte. Elle respirait encore. Certes pas vite et pas normalement mais elle respirait. Qu’allait faire Cécile ?
…

» La jeunesse perdue (forum sur les vampires)