La chambre 239 (celle de Rubis / Amara / Cécile / Lilly)

Une semaine après les avoir retrouvé sur la plage, les quatre jeunes filles de la chambre 239 vont enfin pouvoir se réveiller. Leurs rythmes cardiaques étaient tout à fait normal comme l'avait dit le médecin qui venait chaque fois qu'il le pouvait pour voir le graphique aux pieds de leurs lits et rajouter des notes s'il le fallait.
Une infirmière était encore venue pour voir si tout était en ordre. Certains appareil de mesure on était enlevé car ils voyaient bien que ça ne servait pas à grand chose et doucement ils remarquaient que les filles se réveillaient lentement. C'était un soulagement pour la ville.
Le clochet de l'église sonna, on tait samedi, il était 10 heures, c'était la fin de la messe.
Dans les lits, les jeunes filles bougèrent, une ombre les observait par la vitre du couloir. Des yeux verts perçants les regardait, ils étaient froids et durs.

Cécile était donc la première à ce réveiller. Elle avait l'air presque morte avec son teint si blanc comme la porcelaine. Elle avait l'air d'une vraie poupée de collection. Comme si c'était normal, qu'elle avait bien dormit, que tout allait bien, la se redressa en s'étirant le plus qu'elle pouvait avec ces bras si maigrelets. Elle s'ébouriffa les cheveux comme s'ils n'étaient pas assez emmêler. C'est là quand elle vit les autres filles autours d'elle et que rien ne lui revenait en tête, comme si elle avait dormit depuis sa naissance. Elle fronça d'abord les sourcils puis une vague de panique la prit en plein coeur. Qui était-elle? D'ou venait-elle? Plus rien n'avait de sens dans sa tête, plus rien, elle n'avait plus rien, elle n'était rien Pourquoi vivait-elle alors? Elle entendit quelqu'un dehors, une voix d'enfant dire maman. Que signifier ce mot? Maya força son esprit à fonctionner, mais elle ne réussit qu'à avoir mal à la tête. Son coeur battait la chamade, ces yeux commencèrent à être humide. Elle regardait autours d'elle triste et vraiment désorientée.
Du coup elle les vit. Ces yeux ! Ils lui faisaient vraiment peur. Elle en eu le souffle coupé, elle remonta ces draps comme pour ce protéger. La peur était si forte qu'elle n'arriva pas à hurler. Une des filles bougea. L'asiatique la regarda puis reporta à nouveau ces yeux vers la vitre qui donne dans le couloir. Les yeux aviat disparut, elle était un peu soulagée.

Rubis commencait à s'agiter sous le drap de son lit d'hôpital. Après un petit moment, elle ouvrit les yeux, mais ne se releva pas tout de sutie. Elle attendit que ses idées soit un peu plus clairs. Mais plus elle attendait, plus elle se rendit compte qu'elle ne se souvenait de rien.
Effrayée par cette idée de ne plus se souvenir de quoi que soit, elle se releva brusquement. Mais elle ne fit iren de plus. Elle regarda simplement autour d'elle. Elle vit qu'elle n'était pas seule, il y avait quatre autres jeune fille, dont une qui s'était déjà réveillée comme elle.
Elle essaya de se calmer mais n'y arriva que partiellement. Puis quand elle sentit qu'elle put parler normalement, elle demanda à la jeune fille qui était déjà réveillée:

"Je... Je... Où sommes-nous?"

Demanda-t-elle, finalement. Puis elle continua sur ses questions:

"Et qui es-tu?"

Amara dormait encore tranquillement . Elle ne bougait pas beaucoup . Parfois on aurait pu croire qu'elle était morte ,mais elle était belle et bien vivante . Sur son bras ,on pouvait encore un peu voir de traces quand ces parents la battait . Elle en avait aussi sur le dos et les genoux ,mais ces blessures là ,était beaucoup moins visible que celles à son bras .
Peu après que les deux autres filles c'était réveillé ,elle commencait,elle aussi,à bouger . Mais elle ne se réveillait pas pour autant . Mais peu après ,elle décida quand-même de se reveiller . Mais elle fit effrayé quand elle ne se rappelait de plus rien . Qu'elle ne s'avait pas ce qu'elle faissait ici . Et qui était ces autres filles ? Qui était-elle vraiment ?
Elle eu des larmes qui venait . Elle ne su encore se retenir et se cachait un peu derrière ses draps .

"Je suis ou ?J'ai peur ..."

Puis quand elle vit les grands yeux verts à la vitre ,elle se mit en dessous de ses draps . Elle n'osait plus bouger . Elle ne pouvait pas crier . Elle commençait à trembler en dessous de ses draps .

Elle était étrange la fille, les cheveux carrés et noir, elle avait pourtant une tête qu’elle aimait bien. Seulement, cette fille était trop expressive à son goût, elle voyait bien la panique dans son regard et son expression, Cécile/Maya soupira exaspération. Elle venait de lui poser des questions et elle-même ne savait pas du tout mais elle lui répondit quand même :

« A mon avis on est dans un hôpital tu vois. »

Elle ne voulait pas se montrer méchante envers la fille qui devait être plus âgée qu’elle mais sa question était un peu idiote. Elle n’était pas à plaindre, Cécile se dit que toutes les autres filles devaient l’être aussi.

« Si je savais qui je suis je te le dirais mais je n’en sais rien et toi, t’es qui ? »

Mais voilà qu’une troisième se réveilla et vit également les yeux qui étaient revenus comme s’ils faisaient des allers-retours. Cécile son courage à deux mains et alla voir, elle tremblait quand elle avait la main sur la poignée de la porte mais en l’ouvrant, il n’y avait personne dehors. Elle trouva cela très louche et fronça les sourcils. Elle n’aimait franchement pas ça. Elle se tourna pour regarder la bosse sous les draps.

« Il ou elle est partie, sort de ta cachette petite. »

Elle vait la voix douce mais elle le disait d'une traite qu"on pourrait la croire froide.

Rubis écouta la réponse de la jeune fille. Celle-ci n'était pas vraiment dite amicalement mais plutôt d'un ton assez sarcastique.
A la question de cette fille, Rubis voulu répondre, mais s'arrêta immédiatement. Elle réfléchit un moment puis dit:

"Je ne sais pas. J'ai comme un trou de mémoire."

Quand elle dit ça, la petite fille dans le lit à côté d'elle commençait à se réveiller également. a priori, elle non plus ne savait plus qui elle était. Ce devait être le cas de la dernière fille aussi.
A un moment, elle se recoucha en vitesse et se mit le drap sur la tête. Rubis regarda la direction que venait de regarder la petite et y vit deux yeux verts. Elle sursauta mais contrôla sa peur pour ne pas la montrer à la petite. Elle se leva et alla vers le lit de cette fille, tandis que l'autre allait vers la fenêtre. Elle ouvrit la fenêtre et regardait des tous les côtés. Quand elle rentra la tête, elle annonça qu'il n'y avait plus personne. Rubis s'était installée sur le bord du lit de la petite et lui soufflait doucement:

"Ca va aller. Tu peux ressortir, il est partit."

Amara ,qui était encore toujours éffrayer ,était encore sous son draps . Tout en tremblent . Elle avait vraiment eu peur à la vue de ses yeux verts . Elle ne voulait vraiment pas sortir de la dessous . Son coeur battait à toute allure . Et sa respiration aussi . Puis quand une des deux filles dissait qu'il était parti ,elle ne voulait pas vraiment le croire ,mais quand le deuxième fille le dissait ,elle était presque même obligé de le croire . Elle sortait un peu de ses draps ,mais elle ne sortait rien que sa tête pour en être sûre . Puis quand elle vit qu'il était vraiment parti ,elle sorti un peu plus . Mais elle son regard de peur était encore toujours la . Elle ne connaissait personnes et s'avait avec peine qui elle était elle-même . Mais ce monstre était preske l'unique chose qui lui préoccupait l'esprit .

"Il est méchant ?"

HJ : Rubis c’était la porte pas la fenêtre que j’ai ouverte.

Cécile se tourna vers Rubis qui n’avait encore pour le moment aucun prénom ni nom de famille comme elle en claire mais la jeune fille de 15 ans s’en contre fichait un peu de son identité, elle ne souriait plus mais avait l’air gênée, son comportement était indigne, elle agressait quelqu’un sans raison. Elle soupira.

« Je crois bien que nous sommes pas les seules dans ce cas à avoir…. »

Avec ces doigts elle faisant 4 oreilles d’âne pour faire les guillemets.

« … Des trous de mémoire. »

Elle alla voir la petite et s’assit sur son lit. Doucement, elle posa sa main sur ce qui devait être le dos de la gamine et le lui caressa doucement pour la réconforter.
Puis enfin sa tête émergeant du linge blanc, elle posa son regard sur les plus beaux yeux bleus du monde et lui sourit.

« Peut-être mais nous sommes trois et même 4 si la fille se réveille. »

Dit-elle en montrant la 4e du menton.

« Moi aussi j’ai eu peur en le voyant, je sais pas qui sait mais il faudra faire attention. »

Son regard s'attarda à la fenêtre.

Rubis écouta la jeune fille dire qu'elle pensait qu'on était pas les seules à avoir des trous de mémoires. C'est également ce que pensait Rubis. Elle trouvait que ce n'était pas vraiment une coïncidence si trois qur quatre filles d'une même chambre d'hôpital n'avait plus aucun souvenirs. Elle serait peut-être même plus si la quatrième fille se réveillait dans le même état qu'elle.

"Je suis d'accord avec toi."

Acquiesça Rubis.

"D'après toi, c'est quoi ces yeux? Et pourquoi nous épient-ils nous et pas quelqu'un d'autres?"

Demanda Rubis à la jeune fille en baissant la voix pour ne pas effrayer la petite.

HJ: Oui bon d'accord, mais c'est pas pour t'embêter, mais il me semble que les portes dans les hôpitaux sont simplement en bois, pas transparentes, donc si tu arrive à voir des yeux verts comme ça, tu me préviendra. lol, je plaisante.

Amara était en une fois perdu dans ces penses . Enfin si on pouvait appéllé sa des penses . Elle ne se rappela de plus rien . Tout comme les deux autres filles dans la chambre . Elle avait beau à chercher et chercher . Mais rien . Rien qui ne la fit se rappeler son passé . Mais peut-être que c'était mieux aussi . Son passé avait pas du tout était joyeux . Surtout pas avec les marque qu'elle avait eu ,et qu'elle encore toujours d'ailleurs . Bien que sa effrayait Amara .
Bien qu'une fille parlait doucement pour ne pas qu'Amara entendait ce qu'elle dissait à l'autre fille qui essayait de la réconforter maintenant .Amara l'avait entendu . Elle recomençait denouveau à trembler . Elle regardait les deux filles ,les larmes au yeux .

"J'ai peur..."

Elle se cachait un peu plus sous sa couverture,puis les larmes commençait à couler .

Elle était tojours aux côtés d'Amara quand Rubis lui demandait d'où venait les yex et qu'est-ce que voulait la personne à qui ça appartenait.
La futur Cécile n'en savait rien, elle n'était pas plus avancé qu'elle, c'est vraie qu'elle se posait ces questions mais elle le faisait en silence au moins elle, et en plus, la jeune adulte avait le don de réussir à faire peur à la pauvre petite que notre cheère adolescente s'empressa de prendre dasn ces bras.

"Faut pas ma belle. Quelqu'un va surement venir tout nous expliquer et ça ira mieux, tu verras, mais sêche tes larmes, pleurer ne sert à rien."

Sa voix se fit de plus en plus douce, de plus en plus maternelle au fur et à mesure qu'elle parlait à la petite enfant.

Malgré qu'elle ait parlé à voix basse, la petite l'entendit. Rubis se résolu donc à garder ce genre de question pour elle.
Elle se leva et se dirigea vers la porte de la chambre. Elle l'ouvrit et regarda dehors pour voir s'il y avait quelqu'un, nimporte qui, mais le couloir était désert. Rubis referma la porte et retourna s'asseoir sur son lit. Elle trouvait bizarre qu'il n'y ait personne dans un hôpital en pleine journée.
Elle aurait bien voulu poser la question à la jeune adolescente, mais elle craignait que ça n'effraie à nouveau la petite. Elle garda donc cette question pour elle-même.

Amara était toujours ses draps quand une des filles la prit dans ses bras, bien qu'elle avait encore un peu peur. Mais elle sécha donc ses larmes, comme la fille lui avait dit. Mais elle ne disait plus rien. Elle se contenta juste de regarder autour d'elle. Le regard dans le vide. Mais ses yeux n’arrêtaient pas d'aller d'un côté à l'autre de la pièce. Depuis la vue des yeux verts, elle n'était vraiment plus rassurée. Mais à l'intérieur une petite peste commençait à se réveiller. Bien que son visage ne changeait pas, à l'intérieur un sourire était apparu. Comme on dit "derrière un regard d'ange, ce cache un démon". Et c'était le cas pour la petite Amara. Elle avait comme une double personnalité. Une petite fille adorable et attachante, que les deux filles venait de rencontrer maintenant, mais aussi une petite fille qui était une petite peste. Comment allait réagir les deux filles sur la petite peste? Elle ne le savait pas encore mais n'allait pas tarder à le savoir. Mais pour le moment elle ne fit encore rien. Elle voulait attendre le bon moment. Bien que le moment était bien choisit si la peste sortait maintenant, c'était mieux d'attendre encore un peu. Et surtout le faire quand les filles s'y attendraient le moins. A l'intérieur, il y avait un grand sourire, mais sur le visage d'Amara on pouvait encore toujours rien voir. Rien qu'un regard de peur.

Cécile avait enfin finit de consoler Amara, elle allait demandé ce qu'avait la pauvre Rubis qui apparamment ne tenait pas en place, elle cherchait quelqu'un ou quelque chose.
Elle l'aurait emmené dans un coin de la pièce pour que l'enfant n'entende rien cette fois-ci mais à peine levé, la porte s'ouvrit.
Cécile sursauta un moment croyant que c'était la personne aux yeux verts quand elle vit qu'en faite s'était l'infirmière et qu'elle avait les yeux noirs comme le médecin qui la suivait derrière.

"Alors les filles, bien dormit."

S'exclama enthousiaste.

"Ouaih. Mais c'est bizarre on ne sait même plus qui on est."

Lança la futur Summers d'un ton plus que sarcastique.

"Oui, je sais, c'était prévisible."

Dit-il en soupirant et allant s'assoir sur le lit de Cécile.

"Vous pouvez nous éclairer peut-être."

Elle était de plus en plus en colère au fur et à mesure. Elle lança même un petit regard en biais vers l'infirmière qui s'occupe de la dernière fille.

Amara était encore, comme un peu cacher sous ses draps. Elle se laissait denouveau tomber sur le lit. Ses yeux fixaient le mur droit devant elle. Elle était parti dans ses penses. Son visage affichait une petite fille mignonne et gentille. Mais à l’intérieur d’elle, un vrai démon commençait à faire surface. Mais Amara s’obligeait à encore le retenir. Elle voulait être sûre du moment. Elle voulait vraiment surprendre.

Mais elle fit enlevé de ses penses quand en une fois la porte s’ouvrit. Elle cru denouveau que c’était le monstre au yeux verts. Mais quand elle fit apparaître le docteur et l’in fermière elle vu soulager. Mais elle ne comprenait encore toujours pas, comment sa se fessait qu’elle et les autres ne se rappelait de rien. Mais elle n’arrivait à aucune réponse.

Elle préféra laisser parler une des filles. Elle aurait bien vu ce qu’il en devenait.
Mais où étaient ces parents ? Avait-elle des parents ? Et les autres filles ? Elle ne comprit plus rien. Elle préféra rester tranquille dans son lit à attendre. C’était certes une des meilleures choses qu’elle pouvait faire pour le moment.
Mais au fond d’elle ce petit démon voulait sortir. Mais Amara n’était pas encore décidé de le faire sortir. Elle le fessait encore un peu attendre.

Un noir total. C'est étrange, d'habitude, il y a toujours une lumière. Est-elle morte? Non, elel ne pourrait pas réfléchir. Mais aucuns rêves, aucuns souvenirs. Des bruits, qui semblent être lointains... Des paroles floue. Des taches qui bougent... Et deux yeux fixant Lilly dans son univers spirituel. Elle se réveille tout à coup. Tout d'abord elle reste allongée. Elle est fatiguée, et à mal à la tête, et puis, en ouvrant un tout petit peu les yeux une lumière aveuglante la prend. Elle referme les yeux, puis les ouvre à nouveau, plus doucement, en ce relevant. L'éclatante lumière se dissout, Lilly prend l'habitude de cette clarté, puis elle ouvre grand ses yeux. Elle ne se rappelle de rien. Rien du tout. Son nom, elle ne le connait pas. Elle ne sait pas d'ou elle vient, ni dans quel pays elle est. Par contre, l'ambiance de la salle, et le fait qu'il y ai un médecin et une infirmière lui permettent de savoir qu'elle est dans un hopital, mais pour quelle raison?

Lilly regarde autour d'elle. Il y à trois autres filles, dont une petite. Ont-elles perdues leur mémoire, tout comme Lilly? Mais ça en ferais beaucoup sans mémoire, il y en à même peut-être d'autres, et puis, comment ce fait-il qu'elle soit arrivée ici? Elle repère une glace ou elle se regarde. Elle à quelques egratinures sur le visage mais apparement rien de grave. Par contre, les traits de son visage et ses yeux en amandes lui permettent de penser qu'elle est Chinoise. Elle viendrait donc de Chine... Pourtant, aucun souvenirs ne fait encore son apparition. Mais au moins, cela lui permet de savoir d'ou elle vient, elle peut donc découvrir d'autres choses après. Pour l'instant, il faudrait savoir pourquoi elle est là et pourquoi elle à perdu sa mémoire. Une infirmière était penchée sur elle, et elle s'était écartée, rassurée qu'il n'y ai pas d'autre problème mis à part les égratinures, qu'elle avait sur le visage et un peu sur les bras.

HJ: Vu la lenteur de Rubis pour répondre, je vais donc le faire pour clore le sujet au plus vite et commencer autre chose.

Le docteur fronça les sourcils à la recherche d'une manière à annoncer la situation aux jeunes filles sans leur faire peur. Il se gratta le menton ou une barbe était en train de naitre.
Cécile arca les sourcils toujours en attente d'une réponse.
Le visage du docteur rayonna au réveil de la dernière de la troupe. Il sourit et laissa donc l'infirmière voir si tou était en ordre.

"Bonjour jeune fille."

Lança-t-il d'un ton accueillant.

Cécile, quant à elle, elle accorda un simple regard à la nouvelle, avec un petit sourire de bienvenue.

"Alors?"

Insista-t-elle quand même auprès du médecin.

"Que voulez-vous que je vous dise? En début d'année, c'est à dire, il y a 6 jours, on a retrouvé vos corps sur la plage. Vous avez subit un grand choc émotionnel qui vous a fait perdre la mémoire."

Il vit l'air incrédule de la jeune asiatique et s'empressa de rajouter.

"Mais vous en faites pas, vous devrez retrouver otre mémoire dans quelques temps."

Un jeune infirmier arriva et murmura à l'oreille de son aîné.

"Bien."

Cécile était curieuse de savoir ce qu'avait dit le jeune homme et elle le sut très vite.

"Des gens de la ville ont décidé de vous adoptez. Ils sont en bas dans la salle d'attente."

HJ: Dsl si j'ai mis trop detemps mais les autres que je venais il n'y avai personne.

Rubis écoutait la conversation en silence assise sur son lit. Elle réfléchissait à tout ce qui venait de se passer.
Elle releva la tête en entendant la dernière phrase du médecin. Quelqu'un allait l'adopter?? Mais qui?? Et pourquoi? Rubis se sentait capable de se débrouiller toute seule. Mais elle ne dit rien de ce à quoi elle pensait.

"C'est qui qui va s'occuper de nous?"

Demanda-t-elle à la place. Cela faisait un bon moment qu'elle n'avait pas dit un mot. Elle regarda fixement le docteur jusqu'à ce qu'il réponde.

Un peu cacher en dessous des ses draps, Amara regardait les autres. Elle était d’un grand sérieux. Elle écoutait attentivement ce que les autres disaient. Elle écoutait aussi ce que le docteur et l’infirmière avait à dire. Elle ne comprenait pas toujours ce qu’ils disaient. Mais en avait quand-même une idée. Bien que quelque mot lui fit froncé les sourcils. Bien qu’elle était pas d’accord sur certain point de ce que le docteur disait, elle se tu pour le moment. Le docteur avait facile à dire, »Vous allez trouvez votre mémoire dans quelques temps ! »C’est pas lui qui ne se souvient plus de rien ! Ce n’est pas lui qui ne sais même pas ce qu’il c’est passé dans le passé ! Lui il connais encore sa famille ! Les filles, elles, non. Aucune des filles dans cette chambre ne pouvait encore se souvenir de sa famille. Où elle s’habitait. Qui était leurs parents.

Alors biensûr quand le docteur annonçait qu’elles allaient être adopter. Amara eu du mal a digéré ça. Elle ne voulait en aucun cas être adopter ! Elle voulait voir ces vrais parents et non des autres personnes inconnues ! Bien que ces parents elle ne les aurait pas reconnu immédiatement. Mais peut-être a le vu de photo, de souvenirs et d’autres petites bricoles, qu’elle aurait su reconnaître et se rappelé de sa vie avant.

Amara était, elle aussi, rester silencieuse pendant un moment. Elle ne savait pas trop quoi dire contre le docteur et l’infirmière. Elle laissait donc parler les autres. Elle laissait les autres poser des questions. Car elle ne savait pas trop quoi demander. Puis si elle aurait demandé quelque chose, ou bien on aurait traité Amara comme un gosse de 2 ans, ou bien, il n’allait rien dire, sous prétexte qu’elle était encore trop jeune. Elle n’aimait vraiment pas qu’on lui cache des choses, parce que sois disant elle est encore trop petite !
Bref, pour l’adoption, elle avait encore su se taire. Mais au plus elle y pensait au plus que sa l’énervait. Si jamais ces personnes n’étaient pas gentilles ?! Amara voulait ces parents ! Et ces vrais parents ! Amara avait perdu sa mémoire, comme toutes filles présentes dans la chambre. Donc Amara ne pouvait plus se rappelé de ce que ces parents la fessait subir ! De ce qu’elle devait vivre, sans que personnes ne remarque quelque chose. Mais bien qu’elle n’en avait aucun souvenir de la souffrance que ces parents la fessaient subir, elle en garde encore toujours des marques. Car oui, sur les bras et jambes d’Amara il y a des beau gros bleus qui montre bien ce qu’on lui fessait subir. Mais en voyant ses marques, Amara ne pensait pas à ça.

"Je veux pas être adopté !! Je veux mes vrais parents !!"

Disait-elle d’un voix énervé, en sortant des ses draps. Elle se mit debout, et poussait un peu les personnes pour pouvoir passer. Mais pour éviter le docteur, elle se mit à quatre pattes, et passait plus facilement. Elle partie à toute vitesse. Mais ou allait-elle ? Amara était maintenant caché un peu plus loin dans une chambre. Enfin on aurait plutôt dit un bureau. Car il n’y avait pas de lit, mes des bureau avec pleins de papiers dessus. Des larmes coulaient le long de son visage. Elle se tenait contre la poutre de la porte, et elle dépassait à moitié. Elle regardait si quelqu’un de la chambre la suivait ou pas.

Hj: Scusez moi, je vous ai pas prévenue mais j'était partie en vac's!! Mais je suis revenue lol!

Lilly avait été un peu chamboulée à l'annonce qu'elle avait bel et bien perdu sa mémoire. En ne se souvenant de rien elle avait eu l'espoir que ce n'était que de passage, et pourtant...C'était bel et bien une perte de mémoire qui était la cause de tout ce chamboulement dans les souvenirs vides de Lilly. Elle réfléchissit à toute allure, se demandant pourquoi avait-elle atterie sur une plage, comment et pour quelles raisons. L'annonce du fait qu'elle retrouveraient la mémoire n'était pas si rassurant, le médecin pouvait très bien mentir, ou se tromper, un choix plutôt préférable, dans l'autre cas ce serait un traître. Pas très agréable à entendre, surtout qu'il venait de dire qu'elles avaient toutes subi un grand choc émotionel. Les raisons en étant toujours inconnues. Mais la dernière phrase du médecin fut celle qui les avaient surement toutes le plus chamboulée...

Du moins c'était le cas pour Lilly. Elle n'était pas trop en colère pour autant, mais elle ne voulait pas forcément être adoptée par une autre famille que celle qu'elle avait avant. Bien qu'elle n'avait aucuns souvenirs de celle-ci, une recherche était surement possible, non? Donc, intérieurement, Lilly s'opposa à cette idée. De plus, elle avait peut-être petites soeurs ou petits frères, et cette pensée la mettait encore plus contre cette idée. Et puis, elle faisait ce qu'elle voulait pardi! Même si la colère de se déversait pas en elle, elle ne pouvait être insensible. La plus petite fille de la chambre "hurla" qu'elle était contre, accompagnée par un mouvement de tête de Lilly, puis, rageuse, sortit de son lit et evita tous les médecins grâce à sa petite taille, partant de la chambre par cette même ocasion. Lilly voulu la rejoindre, ou du moins partir d'ici, mais les médecins qui s'était placés devant l'entré dissuada son idée. Lilly commencait vraiment à trouver cela très injuste. Elle s'était levée un peu plus. Ses jambe, contasta-t-elle, étaient très fatiguée. Aurait-elle juste la force de ce lever? Les médecins s'écartèrent. Lilly fit face, intérieurement, à la vérité: Elle n'avait de toute façon pas le choix, elle serait seule, sans le sou et sans souvenirs si elle n'acceptait pas l'avenir qu'on lui offrait. Et puis, peut-être de pensaient-ils pas à mal, tous ces hommes.

Restait à voir l'avis des autres filles, qui déciderait surement Lilly.

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